Humour

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Béatrice a écrit:..

grrrrrrrrrrrr ! c'est toi qui a tout détraqué alors...

bon je devrais demander à la rousse mais elle est capable de m'installer un logiciel inondation 4.0

galwenne a écrit:

Béatrice a écrit:..

grrrrrrrrrrrr  ! c'est toi qui a tout détraqué alors...

bon je devrais demander à la rousse mais elle est capable de m'installer un logiciel inondation 4.0  

Je peux t'installer un blue screen comme le ciel bleu !

Mais attention que cela ne soit pas un BSOD

Peur de la gendarmerie, nom moi jamais. Mais les radars.....

La mobylette
– Dis papa, pourquoi tu es toujours tout rouge ?
– Et bien vois-tu, l’hiver quand je rentre en mobylette l’air frais me rend tout rouge.
– Ah bon. Mais pourquoi l’été aussi tu es tout rouge ?
– Et bien c’est à cause du casque quand je rentre en mobylette, ça me fait trop chaud.

Soudain la mère excédée se lève de table et attrape la bouteille de pastis.

Son mari surpris lui demande :
– Mais qu’est-ce que tu fais mon chou ?
– Et bien tu vois, je range la mobylette….

Jade David a écrit:Ce n'est pas a proprement parler une blague. Mais comme c'est le genre d'histoire qu'on se racontais sur le ton de l'humour il y a quelques temps, je pose ça là.


Combien faut-il de femme T pour changer une ampoule ?

Une seule, et il n'y a pas besoin d'ampoule de rechange. Il suffit de la considérer comme une femme et elle illuminera la pièce instantanément.

Voici la version originale.



J'ai buté sur la traduction de "lovely girl". La formulation est charmante en anglais, mais je n'arrivais pas à traduire sans que ça fasse "drague lourde" haha

une autre version :
combien faut-il de transgenre pour changer une ampoule?
il en faut 8
une qui change l'ampoule et 7 qui la prennent en photo .

sophieD a écrit:une autre version :
combien faut-il de transgenre pour changer une ampoule?
il en faut 8
une qui change l'ampoule et 7 qui la prennent en photo .

J'aurais écrit " et 7 qui se prennent en photo " et je suis sûrement dans le groupe !

..

pour faire pendant a la proposition literraire de Lou



desolé pour la blague sexiste

Béatrice a écrit:..

desolé pour la blague sexiste  

je dirais blague simplement. l'humour est ainsi fait de sexisme de racisme d'allusions sexuelles et de dérision envers toutes sortes de "tares".

Seul l'esprit moderne des politiciens essai de reformater la réalité dans un carcan ou le rire ne doit exister que dans les esprit.

tu n'as pas à t'excuser Béa, et même si on en trouve peu, ne crois pas que les femme ne sont pas en reste dans l'humour décapant.

regarde le nombre d'humoristes féminin et ce qu'elle produisent..

série « Les Pompiers »

galwenne a écrit:
série « Les Pompiers »

c'est aussi la petite fille de Marcel Cerdan ?

BD Germain et nous (fin 70')

Attention pas d'originalité....

je ne vise personne,

il parle par expérience ?

galwenne a écrit:regarde le nombre d'humoristes féminin et ce qu'elle produisent..

Ben justement, je suis extrêmement déçue par les humoristes femmes qui prolifèrent actuellement et qui me semblent surtout se caractériser par une grande vulgarité.

Un peu d'aide


Être au régime

Les jeunes amoureux
Après une soirée, un gars ramène sa copine, Gisèle, chez elle, dans un quartier très huppé.
Ils sont à la veille de s’embrasser pour se dire bonne nuit devant la porte d’entrée, lorsque le gars commence à se sentir excité.
Avec un air confiant, il se penche vers elle en souriant, une main accolée sur le mur, et lui dit:
– Chérie, me ferais-tu une gâterie ?
Horrifiée, elle répond :
– Es-tu malade ? Mes parents pourraient nous voir !
– Oh alleeez ! Qui va nous voir à cette heure ? demande-t-il d’une voix déjà haletante.
– Non, s’il te plaît. Imagines-tu si on se fait prendre ? La fille du juge local se doit d’être exemplaire !
– Oooh alleeez! Il n’y a personne aux alentours, ils dorment tous.
– P-A-S Q-U-E-S-T-I-O-N. C’est trop risqué !…
– Oooh s’il te plaît!, s’il te plaiiiiit, je t’aime tellement ? ! ?
– Non, non, et non. Je t’aime aussi, mais je ne peux pas !
– Je t’en suppliiiiiiiiie…
– Donnes-moi une seule bonne raison, dit-elle.

Le jeune homme se lance alors dans une argumentation passionnée de dix bonnes minutes sur les besoins et pulsions masculines, d’une voix de plus en plus rauque.

Soudain, la lumière dans l’escalier s’allume, et la sœur aînée de la jeune fille apparaît en pyjama, les cheveux en bataille, les yeux bouffis, et leur annonce d’une voix endormie :
– Papa m’a dit de te dire : « Soit tu lui fais sa gâterie, soit c’est moi qui lui fait. En cas de besoin, maman dit qu’elle peut descendre elle-même la lui faire. Mais par pitié, dis-lui d’enlever sa main de l’interphone… »

cherchez l'erreur !

c'est limpide non ?




c'est plus un pont mais un viaduc !