Agnès : 30/09/2011 : Un vendredi de congés

Je suis de repos aujourd'hui et nous en profitons pour nous lever un peu tard. Je passe ma mini-jupe beige en jean Stradivarius et le même tee-shirt blanc qu'hier. Nous prenons notre petit déjeuner sur la terrasse puis nous lisons le journal au soleil... Que bueno ! Je dois ensuite procéder à un peu de bricolage. Il s'agit de poser 3 étagères pour envoyer les dernières fringues de Philippe au fond de la maison et dédier le dressing de notre chambre aux vêtements féminins. On peut donc dire qu'il s'agit là d'une noble cause ! Ce travail hautement nécessaire est fini à 15h. Il est ensuite temps de passer au jardin pour une petite heure d’épilation au soleil. Cela permet d’aller dans le détail !
Il nous faut ensuite préparer notre valise pour Paris, non pas que ce soit quelque chose de douloureux ! Nous montons y passer le weekend et je bosse ensuite 3 jours en suivant à La Défense. Il me faut bien sûr essayer diverses tenues, histoire d’être sûre de ne pas faire d’impair qui me perdrait dans la cité de la mode ! Une fois la valise faite, je me change pour aller faire quelques courses. Je passe ma robe violette légère et très décolletée et mes sandales roses pale décorées avec des roses. Oui, vous les avez reconnues, celles achetées 12€ au début de l’été en Espagne. Je passe tout d’abord par la poissonnerie pour acheter 2 douzaines d’huitres, des crevettes et du merlu. Ouh ! Mon dieu que la poissonnière est grosse et laide ! Elle a tout d’une vraie poissonnière ! Un client me dit « Au revoir Madame ». Tout va bien : Je passe ensuite au Super U pour quelques courses classiques. Là, c’est un couple de mecs avec une petite fille qui me regarde. Genre rugby... Il faut dire que ma robe est très décolletée… La poissonnière de Super U me dit bonjour madame au passage. Sympa ! De retour à la maison je change à nouveau de fringues pour tondre la pelouse. Une heure et demie de 18h30 à 20h. Ah on hésite ! J’en vois qui enviaient la vie d’Agnès qui se disent qu’au final c’est bien trop d’efforts ! Rassurez-vous, et ne me plaignez pas trop, ce n’est pas si terrible que ça ! Je tonds ma pelouse en mini-jupe en jean Stradivarius et tee-shirt violet sans soutien-gorge. Il y a pire ! Le « sans soutif », ce n’est pas parce que je suis membre du mouvement laissez les libres ! C’est parce que je vais terriblement transpirer ! Pas la peine de le tremper ! Il me faudra encore ensuite ouvrir les huitres. Et je passerai tout de même un soutien-gorge pour l’apéro, c’est plus chic !
Vous avez raison; la vie est plus belle en soutien-gorge !