Votre livre ...

"DES SOURIS ET DES HOMMES" de John Steinbeck

.

des souris et des hommes aurait pu être mon choix.. cette histoire d'amitié durant la grande dépression m'a beaucoup touchée.



mon choix se portera sur un roman post apocalyptique de Cormac Mc Carty

la quête de valeurs dans un monde ou l'humain devient une bête. L'errance sans fin d'un père et son fils. l'obligation de survie dans un monde de désespoir.

on en approche à grands pas il me semble si on ne se réveille pas !!

Pour rester dans les propose de Galwenne , un constat qui ne m'a pas laissé la "Banane" (loin s'en faut ....) en le refermant .

<<  Voir un lien entre la pollution de l'air, la biodiversité et la covid-19 relève du surréalisme, pas de la science ! ",  affirmait Luc Ferry en mars 2020, accusant les écologistes de " récupération politique ". Voilà un philosophe bien mal informé. ... >> Wiki ...

Comme les choix de Nicole, Galwenne et Lou,

Un livre bien flippant d’autant plus que le scénario est tout à fait plausible.





Pas très gai tout ça...

Morgane a écrit:

une belle adaptation et un rôle magnifique pour Josiane Balasko

quand on parle de lecture de bd il faut rechercher plus loin que la planche basique qui nous est présentée..
les illustrateurs et scénaristes aiment distiller des pointes d'humour dans leurs créations.

Goscinny que j'ai déjà citée faisait de même sur d'autres créations.





un humour qui doit plaire à un certain nombre d'entre nous ..

galwenne a écrit:quand on parle de lecture de bd il faut rechercher plus loin que la planche basique qui nous est présentée..
les illustrateurs et scénaristes aiment distiller des pointes d'humour dans leurs créations.

Goscinny que j'ai déjà citée faisait de même sur d'autres créations.





un humour qui doit plaire à un certain nombre d'entre nous ..

Iznogoud toute ma jeunesse aussi !!!  (par contre la tentative de film en 2004 avec Mickael youn a été lamentable)


Toujours en retard, un livre parlant de drogue ou d'alcool...  dans le temps j'avais lu plusieurs ouvrages de Charles Bukowski avec son personnage Hank.... qui d'ailleurs me fait penser à Frank dans la série Shameless (un coup d'oeil sur le net m'informe que je ne suis pas la seule..)




Sinon il y avait "The Soft Machine" de William S. Burroughs - gourou de la beat generation - mais je n'ai pas le bouquin chez moi (à l'inverse j'ai les albums du groupe de jazz-fusion rock-prog-psychédélique dont le livre au titre éponyme a suscité l'appellation).... il a aussi écrit "Le festin nu" et plein d'autres trucs...

jennyfer a écrit:


Iznogoud toute ma jeunesse aussi !!!  (par contre la tentative de film en 2004 avec Mickael youn a été lamentable)

Pour ma part, j'ai toujours eue du mal avec les reprise télévisée des livres ou bd. A de rares exceptions qui m'ont agréablement surpris je reste inconditionnelle de l'ouvrage d'origine.

galwenne a écrit:

jennyfer a écrit:


Iznogoud toute ma jeunesse aussi !!!  (par contre la tentative de film en 2004 avec Mickael youn a été lamentable)

Pour ma part, j'ai toujours eue du mal avec les reprise télévisée des livres ou bd. A de rares exceptions qui m'ont agréablement surpris je reste inconditionnelle de l'ouvrage d'origine.

Rien ne vaut que l'oeuvre originale de Tabary le grand. J'ai toute la collection de BD de ce sympatique personnage qui élobore et réalise des plans qui ont tous le mérite d'échouer. Je les relis avec plaisir, découvrant des calambours qui m'avaient jusqu'à présent échappés.

Les adaptations en film ou en dessin animé, c'est de l'affligeant au NAC (Nul à chier).  Surtout la daube de Mickael Young, une vraie purge.

jennyfer a écrit:

Toujours en retard, un livre parlant de drogue ou d'alcool...  dans le temps j'avais lu plusieurs ouvrages de Charles Bukowski avec son personnage Hank.... qui d'ailleurs me fait penser à Frank dans la série Shameless (un coup d'oeil sur le net m'informe que je ne suis pas la seule..)




Sinon il y avait "The Soft Machine" de William S. Burroughs - gourou de la beat generation - mais je n'ai pas le bouquin chez moi (à l'inverse j'ai les albums du groupe de jazz-fusion rock-prog-psychédélique dont le livre au titre éponyme a suscité l'appellation).... il a aussi écrit "Le festin nu" et plein d'autres trucs...

Dommage qu'on ait pas eu l'occasion (ou le courage), toi ou moi, de proposer Soft Machine ou Robert Wyatt dans le challenge sur les musiques, malgré deux sessions... Un peu dissonant et trop mélancolique pour les oreilles d'aujourd'hui, mais incomparable !
Quant à William S. Burroughs, presqu'illisible, non ? J'ai pas ré essayé depuis quelques décennies

Pas de proposition de livre qui me rende triste. Ou j'ai oublié, parce qu'il me rendait triste...

...




L'integral Jule Verne

et surtout l'Ile mysterieuse et evidement 20 000 lieux

comme Béa Jules vernes est une lectures de ma jeunesse. d'ailleurs j'en ai la collection dans ma bibliothèque.

un auteur que j'ai aimée et une saga lue trop jeune au dires de mes instituteurs Les Thibault de Roger Martin du Gard.

Une époque ou les programmes tv étaient rares donc la lecture était mon passe temps.


un livre sort du lot est j'ai toujours cette édition de poche cornée, tâchée mais précieuse à mes yeux.

Salambo de Flaubert.




Lorsque la bibliothèque municipale était fermée j'adorais aussi me plonger dans un livre que l'on avait toute chez soit car souvent offert par les municipalités à l'entrée au collège et dont je délectait ...




le dictionnaire le Petit Robert

Le monde perdu d'arthur Conan doyle

Mes grands parents instituteurs étaient chargés de la bibliothèque de l'école... J'ai donc dès que j'ai su lire me plonger dans les livres pour la jeunesse, parmi lesquels Oliver Twist (que je ne me suis jurée de ne plus jamais relire tellement c'était triste), "les quatre filles du Docteur March", "le dernier des Mohicans" (triste aussi), "Quatre du cours moyen", "Le dernier naufragé de l'ile de Robinson", "Pierre Pons pantin de feutre ", "les aventures du petit rat Justin"...

Après ce fut la série du club des cinq, celle des Fantômettes, celle des "Alice" (je me suis faite copieusement engueuler pour lire cette dernière, destinée initialement aux filles). J'avais aussi une prédilection pour les contes transcrits et commentés par Maurice Bouchor (trois volumes)

Par la suite je suis passée aux Jules Verne: "Voyage au centre de la Terre", "Les Indes noires", "L'île mystérieuse" (relue au moins dix fois), "De la Terre à la lune"...
Puis "Les Misérables" (relus dix fois aussi), "Raboliot", "Les compagnons de l'Aubépin", bref, je squattais la bibliothèque municipale de mon quartier.

J'ai aimé tous ces ouvrages, du plus humble au plus élaboré, qui m'ont tous plongée dans les univers d'évasion dont j'avais grand besoin et ont stimulé mon imagination (plus que mon aptitude aux relations sociales...)

Ah oui le club des cinq... j'en ai lu un paquet aussi

Jimmy Guieu, un auteur de science fiction. J'ai lu beaucoup de ses romans

galwenne a écrit:

comme Béa Jules vernes est une lectures de ma jeunesse. d'ailleurs j'en ai  la collection dans ma bibliothèque.

un auteur que j'ai aimée et une saga lue trop jeune au dires de mes instituteurs Les Thibault de Roger Martin du Gard.

Une époque ou les programmes tv étaient rares donc la lecture était mon passe temps.


un livre sort du lot est j'ai toujours cette édition de poche cornée, tâchée mais précieuse à mes yeux.

Salambo de Flaubert.




Lorsque la bibliothèque municipale était fermée j'adorais aussi me plonger dans un livre que l'on avait toute chez soit car souvent offert par les municipalités à l'entrée  au collège et dont je délectait ...




le dictionnaire le Petit Robert

Moi aussi dans ma jeunesse je feuilletait les pages, avide d'explications techniques, de shemas, de croquis biologiques... c'était Larousse... et Galwenne qui s'interessait aux Roberts... décidément on ne peut pas lutter contre le destin !

edit : ce temps est révolu, dans le temps on se faisait chier on lisait tout ce qui tombait sous la main et on en ressortait parfois cultivé... aujourd'hui les gens s'ennuient c'est le smartphone qui leur tombe dans la main

...

j'ai faillit oublier

À 15 ans j'adorais san Antonio