Question - décalée dans les tenues..

Bonjour !

Mon épouse sait et accepte globalement mon travestissement... mais avec quelques écueils également...

Celui du jour... Jon est tranquille à la maison, mais je sens un malaise.. j'ai don pose quelques questions et j'ai eu cette réponse : ai l'impression qu'on est deux femmes, mais toi t es maquillée, bien habillée, et moi je suis habillée n'importe comment... c est comme si tu t habillais avec une cravate,..etc..

Est ce que vous avez déjà eu ce cas là ??? Qu'avec vous répondu ?

Pour ma part je lui ai dit que vu ma tête au masculin, j étais bien obligée d'utiliser du maquillage... et que du coup, pour être "raccord", je ne peux tout simplement pas m'habiller "négligée"... je pense qu'elle a entendu, mais.. on dirait qu'elle souffre de la comparaison...

Bonjour
Je suis l'épouse de Sophie qui m'a demandé de vous répondre. Je vous confirme que j'ai eu cette réaction, même encore maintenant et j'ai eu la même réponse. Sophie tient à être parfaite, ce que je comprends. Avec aussi à un moment donné l'impression d'être moins féminine, mais ce sentiment s'est estompé avec le temps.
On est toujours complice et je lui donne qq conseils, notamment au niveau du soin de la peau (mon domaine) et des tenues. Je reconnais que ce n'est pas toujours simple, mais je prends ça comme un jeu et ça va mieux.

Même si je suis célibataire et que je n'ai pas rencontrée ce genre de situation, je peux tout à fait comprendre ce genre de malaise, comme dit précédemment nous devons pour être crédible poussée notre féminisation et sans oublié que c'est pour nous un plaisir de le faire, tandis que pour la plupart des femmes,elle souhaite être dans des tenues décontracté à leur domicile donc pas de jolies petites robes et de maquillage, je peux donc comprendre que ce décalage provoque des malaises.

Si la situation était inverse comment réagiront nous si notre femme était en costard cravate à la maison alors que nous sommes en short et t-shirt.

Pour la plupart elle aime avant tout l'homme qui est en nous,sa leur demande donc bien souvent de gros efforts pour nous accepter.

C'est l'une des raisons pour laquelle je suis célibataire je me mets à la place d'une femme que je pourrais rencontrer et j'ai très peur de la réaction quelle pourrait avoir,car je sais maintenant Alexandra fait partie de moi et je souhaite pas partir sur un mensonge

je pense que c'est justement l'occasion de mettre sa femme en valeur, tenue (même normale mais un truc qu'elle aime bien, maquillage aussi.
Mais ne pas dire qu'on fait ça pour nous , et qu'elle on s'en fout un peu puisque c'est déjà une fille
Car tout ça la fera déprimer (et envier) encore plus

Une amie sis m'a dit un jour que nous mettons la barre haut sur ce plan, ce qui l'incite à devoir faire un peu de zèle lorsqu'elle sort avec nous.
C'est j'imagine un peu antinomique pour les femmes sis qui préféreront souvent la décontraction lors d'une sortie féminine.

Bonjour, et merci pour vos différents retours.
Je comprends vos points de vue, qui rejoignent celui de ma femme....
MAIS..
Je suis quand meme mal à l aise quand je ne suis pas dans l'excès d'élégance (par ex je suis très très loin des tenues de Sophie)..ma tenue d hier c était un jean, un haut simple  et par dessus un pull noir plus ou moins informe,  et c est tout.. (voir mes dernières photos pour avoir une idée.. donc rien d excessif non plus....
Et enfin .. si mon épouse faisait aussi quelquefois un simple effort, ce serait pas mal... et je ne parle pas que pour rester à la maison. Ces derniers temps, c est quand même le mode n'importe quoi... mais de ce côté là,  c'est vraiment moyen..u point que pour un mariage récent, elle m'a piquée une jupe plutôt que de regarder ses fringues ou aller en acheté une...

..


c est vraiment une discussion intéressante car elle met en lumière une de ces injonctions paradoxales dont les femmes sont l'objet
"soit belle"

injonction a laquelle nous répondons nous forcement en "plaçant la barre très haut" (dixit Morgane)

Cette discutions me fait vraiment penser à cette image que j'avais déjà publié.
Des fois, je me trouve bien plus féminine que ma femme qui se laisse bien souvent aller coté vestimentaire.

Béatrice a écrit:..


c est vraiment une discussion intéressante car elle met en lumière une de ces injonctions paradoxales dont les femmes sont l'objet
"soit belle"

injonction a laquelle nous répondons nous forcement en "plaçant la barre très haut" (dixit Morgane)

Dans le décalage que j ai décris, je ne me situe pas dans l'injonction ,"soit belle".

Pour ma part, c est juste question d'éviter un trop grand décalage entre un maquillage quasi obligatoire pour masquer les traits masculins et la tenue... jr ne suis oas non plus tirée a 4 epingles.. quand à on épouse... elle ne fait pas attention à sa tenue.. c est comme ça, c es son choix... mais du coup, après, j'ai du mal à avaler la remarque. Comme elle choisit de ne pas faire d effort, pourquoi ensuite me faire porter le chapeau...

Laura28 a écrit:[

Dans le décalage que j ai décris, je ne me situe pas dans l'injonction ,"soit belle".

. Comme elle choisit de ne pas faire d effort, pourquoi ensuite me faire porter le chapeau...

je ne dit pas autre chose

ta femme en ne s'appretant pas s'affranchit de cette "injonction" (sois belle - seduisante .. etc )

et entend ne pas s'y plier (comme beaucoup de femme aujourd'hui ..)

l'image que nous avons de notre feminité est souvent plus appreté ne serait ce que pas contrainte

pour ma part je me suis essayé a etre plus naturel, mais helas avec deception tant mes traits masculins ressortent

Hello ,
deja  un "Merci"  à ton épouse Sophie , venir échanger sur cet espace est peu fréquent .
Laura , sans vouloir "performer" nous devons,  comme tu l'as écris,   faire un "minimum" pour gommer le "mec" qui nous héberge au quotidien , et souvent  depuis des lustres . Pour nos compagnes ce changement d'apparence n'est jamais simple  emotionnellement ( les différentes craintes qu'elles projettent et incertitudes qu'entrainent  ce "virage" parfois  ....périlleux ) , sa réaction de freiner les injonctions liées aux  " statut " de la Femme dans nos sociétés est , peut-être, une façon inconsciente de tenter de ralentit ton évolution . Certaines vont à l’opposé ,  davantage revenir dans ce "Jeu" : << la Nana ici c'est Moi >> (une sorte de compétition faussée dès le départ , sauf pour les plus chanceuses d'entre nous ... ) , ou bien aller vers cette tolérance sereine qui fait encore pas mal d'envieuse dans nos rangs ...enfin je suppose ??
Je vais m'aventurer sur un sentier "miné" ...    il m'a  semblé que dans mon entourage familial ,  depuis ma visibilité totale, certains marqueurs plus typiquement féminins (jupes , ou robes, coiffures moins  construitent à la hâte , petit traits de crayon discret .....) refont surface ...mais je "fantasme" surement !!!
A qu'avons nous pas l'avis de nos Amies Cis ... enfin de celles qui nous acceptent !!  

moi je n'ai jamais vu ma mère se maquiller, peut être un peu de rouge à lèvres les jours de baptême ou de mariage, et encore ça ne se remarquait même pas. Encore moins de bas ou autre dessous.

ma femme, on dirait la sosie de Trump, ne sais pas non plus se maquiller, d'ailleurs elle évite de le faire, questions habits c'est jeans, baskets, un vrai petit mec (d'un quintal). Au début j'avais tenté de la convaincre d'être plus féminine, elle a toujours refusé, prétextant des habits plus "confortables".

des cousines lointaines et prudes, absence de soeur, d'ailleurs à 10 ans je m'en étais inventé une auprès des copains, ma mère a su ça, ce fut l'occasion d'une raclée.

finalement, cotoyer des filles pour la première fois, ce fut en 6ème. Apprendre comment on faisait des gosses idem, savoir par ou ils naissaient aussi. C'est un copain de classe qui nous l'avait appris (on n'y a pas cru), ce copain dont la mère nous passait les visites médicales annuelles, vous savez celle qui nous les compte chaque année .
alors un autre copain de classe a ramené un jour un collant chopé à sa grande soeur; Ni une ni deux je l'ai gardé pour moi. Plus une jupe trouvée dans le grenier de ma cité. Ca me permettais de faire des tours de rue le soir tard en revenant de mes cours de judo. Puis les jeudis dans les champs et les chemins forestiers avec les copains qui rigolaient.
A l'époque je pensais que comme je n'avais pas de soeur, je m'en était créé une, et cette idée fit son chemin.

Pour en revenir à vos femmes d'aujourd'hui, peut être veulent elles souffler à la maison, peut être sont elles plus tirées à quatre épingles au boulot.

Lou a écrit:  il m'a  semblé que dans mon entourage familial ,  depuis ma visibilité totale, certains marqueurs plus typiquement féminins (jupes , ou robes, coiffures moins  construitent à la hâte , petit traits de crayon discret .....) refont surface ...mais je "fantasme" surement !!!

Pas sur.. J'ai cru noter la même chose de mon côté. Moi qui apprécie d'être un minimum apprêtée à peut près tout le temps, j'ai noté un changement de comportement autour de moi à un certain moment... certaines y prennent d'ailleurs plaisir.

..

il n'en demeure pas moins que pour certaine d'entre nous l'expression de notre féminité traduit une image un peu idéalisée, voir nostalgique des femmes

moi par exemple .. mais je crois m"être assagie sur la question

La discussion est intéressante. Je me sens un peu étrangère. Je n'ai pas de point de comparaison sauf sans doute toutes les femmes que je rencontre autour de moi, au bridge, en randonnée, etc ... Je suis célibataire et je pense que je me mets "la barre très haut". La féminité que j'ai toujours eu en moi nécessite que je sois au plus près de ce que j'idéalise. J'ai horreur du négligé. La femme qui est en moi exige que je paraisse la plus féminine possible. Ainsi je suis attentive à tout : mon maquillage, ma tenue, mes manières, mon comportement, mon vocabulaire ... Même quand je pars faire une randonnée, en pantalon T-shirt ... et grosses chaussures je m'applique à être une femme. Tout peut être dans le détail: un bijou, un sourire, une réflexion, un regard ...

Dans le passé, j'ai beaucoup observé ma femme, mon ex, sa façon d'être, sa façon de bouger, de s'habiller, de se comporter. Elle était très féminine. Je l'admirais. Je peux dire aujourd'hui qu'elle a été mon modèle. C'est ma chance.

Je comprends vos réflexions vis à vis de votre conjoint. Il peut y avoir une sorte de compétition ou bien une espèce de déception.

Alexandra a bien exprimé ce que je pense aussi.

Pour ce qui me concerne j'ai encore du mal à me sentir féminin quand je ne porte pas des vêtements ou articles clairement définies pour femme robe escarpins collant vernis à ongles par exemple, j'ai par moment le sentiment d'être un peu comme une adolescente qui cherche à prouver sa féminité , j'avoue par contre vu que je ne sors pas je me maquille rarement vu le temps que sa prend et que de plus je suis bien souvent déçue du résultat sûrement à cause du manque de pratique et peut être de techniques applications en fonction du cosmétiques mais dans le fond le maquillage est lui aussi clairement définies comme féminin.

Je pense que pour les femmes en général qu'elle soit en pantalon ou en robe n'influence pas forcément leur ressenti sur leur féminité, elle vont je pense s'habiller en fonction du contexte, elle ont passée ce cap se prouver qu'elle était femme en exagérant sur le maquillage des tenus provoquante à l'adolescence.


En gros pour résumer mon post à rallonge je pense que quelques parts nous restons un peu des adolescentes ce qui je pense on du mal à comprendre certaines conjointe d'entre vous.

N'ayant pas de femme, je ne ne peux pas vous partager sa réaction quand à une éventuelle "concurrence" dans la féminité.

Effectivement nous nous devons d'être plus féminines que la normale pour pouvoir passer pour une femme. Cela rejoint la grande discussion que nous avions eu sur les stéréotypes féminins auxquels nous nous conformons souvent.

Pour ma part, je n'ai pas eu de modèle féminin dans mon entourage proche. Ma mère s'habille confortable et chaud pour aller travailler. souvent en pantalon. Même si depuis quelques années je note un retour des robes aux beaux jours. Même chose chez mes grand-mère que je n'ai pas du revoir en robe depuis au moins 20 ans. Depuis mes débuts, je pense être celle qui a le plus utilisé le maquillage de ma mère

Par contre, avec mon coming out, j'ai eu plusieurs fois la remarque quand des copines m'on vu au féminin : "Punaise, tu est plus féminine que moi !". Dernièrement j'ai fait toute une journée de travail au féminin. La première remarque de ma collègue quand elle a vu que je portais des talons (confortables 5-7cm) a été "Mais pourquoi tu t'inflige ça ?"

Les femmes cis s'habillent de plus en plus confortable pour le quotidien. Exit le maquillage qui prends des plombes à faire avant d'aller au boulot. Il n'y a plus guère que dans les soirées ou les grandes occasion qu'elles se pomponnent, et encore. Quand on voit que de nos jours, plus grand monde ne s'habille pour un mariage...

trop marrante la Jeune "Regretteuse d'hier" ,
je pense que selon les lieux ou nous vivons la féminité s'exprime avec plus ou moins de force . Après c'est clair que pour aller travailler , sauf emplois dédiés , esthéticiennes , coiffeuse , vendeuses en boutique etc ... , peu de Nana ont quotidiennement l'envie de passer 2 plombes dans la Sdb , d'ailleurs monsieur attend la place ainsi que la progéniture ....(oui,oui, les copines ,c'est du vécu !! ) ,mais il reste (heureusement ,nous nous sentons moins isolées ) encore des résistantes . Ma "coloc" travaillait dans un secteur à 90% féminin , certaines n’hésite pas à se lever de (très) très bonne heure pour être ....parfaite , " Girl Power is not dead ...."

En fait à bien regarder dans la rue les femmes ont juste changé d'injonction à suivre: de nos jours c'est plutôt, en substance, "sois moche, débraillée, et parle à tort et à travers pour combattre la dictature de ce bon vieux patriarcat..." C'est toujours une injonction, que les medias, magazines etc... répandent à l'envi. Regardez aussi par exemple ce qu'est devenue la haute-couture pour saborder définitivement dans tous les esprits et par le ridicule le plus révoltant toute conception du chic et de l'élégance. Alors bien sûr que nous incarnons (tant bien que mal), une image surannée, qui est la double transgression de, premièrement, l'assignation du genre par le vêtement et deuxièmement la recherche du raffinement contre l'avilissement doctrinaire de la féminité.

Michele-Anne a écrit:En fait à bien regarder dans la rue les femmes ont juste changé d'injonction à suivre: de nos jours c'est plutôt, en substance, "sois moche, débraillée, et parle à tort et à travers pour combattre la dictature de ce bon vieux patriarcat..." C'est toujours une injonction, que les medias, magazines etc... répandent à l'envi. Regardez aussi par exemple ce qu'est devenue la haute-couture pour saborder définitivement dans tous les esprits et par le ridicule le plus révoltant toute conception du chic et de l'élégance. Alors bien sûr que nous incarnons (tant bien que mal), une image surannée, qui est la double transgression de, premièrement,  l'assignation du genre par le vêtement et deuxièmement la recherche du raffinement contre l'avilissement doctrinaire de la féminité.

Belle occasion pour Michèle-Anne de sortir son fusil à double canon scié, et je serais heureuse de lui fournir des cartouches, si elle n'était déjà suffisamment bien pourvue !
Depuis belle lurette, la "mode" unisexe a posé son couvercle sur notre pays (et ailleurs...) : tout le monde en pull, en jean et en baskets.On a vu le périmètre s'élargir d'année en année, tant sur le plan des tranches d'âge que des classes sociales. La seule différence qui subsiste est celle de la qualité et, subséquemment, du prix ; il y a les jeans à 20 euros et ceux à 2.000 euros. Mais de toute façon, à partir d'un certain niveau il est difficile de faire une distinction claire, car il faut appartenir à une catégorie très privilégiée pour comprendre la parfois subtile différence : un sac Chanel se distinguera aisément d'un sac H M, ce d'autant plus que certaines marques ont désormais la manie de sigler d'une façon très voyante leurs produits pour que l'acheteur soit sûr que le quidam voit bien de quoi il retourne, ramenant ainsi ce produit au statut du Port-salut (c'est écrit dessus ....). Mais pour différencier un Longchamp d'un Hermès, c'est déjà plus compliqué, ne serait-ce que parce qu'on voit rarement des Hermès dans le métro et qu'en outre peu de femmes connaissent leur juste prix....
Paradoxe : la "mode" unisexe devrait a priori faciliter la vie aux trans puisque leur transgression vestimentaire n'existerait plus ; mais c'est les priver de leur confirmation intime de leur féminité que cette disparition du côté transgressif, car c'est l'un des actes fondateurs de leur choix de genre. Reste le maquillage ; absolument indispensable pour la plupart (à la fois question de passing et d'affirmation de sa féminité - sauf pour les happy few full time ( si j'ose enchaîner ces anglicismes....) qui peuvent s'en passer, étant elles-mêmes passées à autre chose, ce maquillage, voilà qu'il disparaît de plus en plus du visage des cis, soit au mieux parce que l'époque vit sur un tel rythme qu'on n'a plus le temps de soigner son visage, soit, au pire, parce qu'un diktat idéologique le proscrit (on notera que nombre de régimes autoritaires ont cru bon de l'interdir (, y compris en Europe dans un passé récent ...). Or, à mon sens, il y a quand même une relative cohérence entre maquillage et vêture et nous voilà bien embarrassées ! Rien d'étonnant donc à ce que nombre d'entre vous reprochent à leurs compagnes un laisser-aller qui, d'une part heurte leur appréhension personnelle de ce qu'est la féminité (stéréotypes peut-être, mais sur lequel s'est construit la plupart du temps leur idée même du féminin) ; et d'autre part les place dans une ridicule situation de compétition dont elles ne sont pas responsables. Il y a de nombreux témoignages là-dessus sur le site.
Les trans modernes me font un peu penser à ces gentlemen anglais qui, en poste dans des coins perdus d'Inde ou d'Afrique, se faisaient un point d'honneur à mettre un smoking pour dîner, même seuls et loin de leur "habitat" usuel. On arrive ainsi au résultat paradoxal que l'un des attributs séculaires du genre est maintenu vivace par celles qui se battent pour y acquérir droit de cité et en deviennent les championnes.
Il est certes compréhensible (j'allais presque dire "excusable") que parfois le paramètre du confort l'emporte sur celui de l'effort, mais pour ma part j'ai toujours pratiqué le tout ou rien, jamais l'entre-deux, qui de toute façon n'aurait pas de sens pour moi, puisque j'ai toujours vécu le mode F comme celui de l'exceptionnel.