La musique du jour

deux principalement une en Français et l'autre mes années plus hards



mes camps d'ado et de voile ! nostalgie



mes camps d'ado et de voile ! nostalgie

ce n'est pas une chanson enfantine, mais une chanson qui a bercé mon enfance, "mon pote le gitan" pas les interprétations de montant ni celle de moulourji, mais celle ci qui m'a donné envie de posséder un orgue de barbarie.

AHHH .... Hugues Aufray , Santiiago , Cool !

Johnny ....bon perso je ne suis pas fane , mais écouté sur le picup de ma cousine adolescente , moi ... encore mouflet !
J'ai encore le 45 tr avec 2 chanson par face (bon inaudible ,je ne suis pas très soigneuse et le vinyle ...c''est fragile !! )

Ca c'est facile..  

une qui résonne encore dans ma tête.

Bonne idée de reprendre tout au début, j'ai raté plein de jours.

Chanson de mon enfance : ce serait Melocoton de Colette Magny, j'adorais ça, merci Lou de l'avoir rappelée.


Sinon les chansons que ma mère écoutait comme "L'homme à la moto" d'Edith Piaf, qui était déjà un peu ancienne



ou Serge Reggiani "Les loups" qui me terrorisait un peu

..

la fin de la chanson:
Car ma vie
Car mes joies
Aujourd'hui
Ça commence avec toi
le toi, pour moi c'est Sophie.

Je reviens sur le "N'y pense plus, tout est bien" chanté par Hugues Auffray, qui est le "Don't think twice" de Dylan:

Voilà ce que j'écrivais jadis dans Le Manoir de Michèle-Anne:

Voici une des chansons "des 60" qui m'a le plus marquée; Je n'avais que 5 ans, à l'époque... Inutile de dire que je comprenais l'anglais encore plus mal que maintenant, et qu'il n'était pas question de demander la traduction à mes parents, qui vivaient tout à fait en dehors de l'effervescence créative de la jeunesse de cette époque.
Je pense que tout le monde a en tête les paroles chantées par Hugues Auffray... Et cependant, si réussie que soit cette version, elle est sans doute assez éloignée des intentions originales.
Les dieux savent que la traduction est un art difficile. J'ai essayé ci-dessous de vous donner une idée de ce qu'a vraiment écrit Dylan. Bon, ce n'est pas non plus du mot à mot... Mais je crois que les idées et la poésie sont vraiment les mêmes.

Je vous offre donc pour que vous puissiez comparer, le texte original d'abord et ma propre traduction ensuite:

Don't think twice, it's all right
By Bob Dylan

Ain't no use to sit and wonder why, babe,
It don't matter anyhow.
Ain't no use to sit and wonder why, babe,
If you don't know by now.
When your rooster crows at the break of dawn,
Look out your window, baby, I'll be gone.
You're the reason I'll be traveling on.
Don't think twice, it's all right.

Ain't no use in turning on your light, babe,
The light I never knowed.
Ain't no use in turning on your light, babe,
I'm on the dark side of the road.
Still I wish there was something you would do or say,
Trying to make me make my mind up and stay.
We never did too much talking anyway.
Don't think twice, it's all right.

Ain't no use in calling out my name, babe,
Like you never did before.
Ain't no use in calling out my name, babe,
Lord, I can't hear you anymore.
I'm thinking and wondering all the way down the road.
I once loved a woman, a child I'm told.
Gave her my heart, but she wanted my soul.
Don't think twice, it's all right.

Walking down that long lonesome road, babe,
Where I'm bound, I can't tell.
Goodbye is too good a word, yeah,
So I'll just say fare thee well.
I ain't saying you treated me unkind.
You could've done better, baby, but I don't mind.
You just kind of wasted my precious time.
Lord, but don't think twice, don't think twice, it's all right.

N'y pense plus, tout est bien
Traduction: Michèle-Anne Roncières.

C'est inutile de demander pourquoi, chérie,
Ca n'est plus important.
C'est inutile de demander pourquoi, chérie,
Surtout qu'il n'est plus temps.
Quand le coq chantera pour un nouveau matin,
Par la fenêtre, chérie, tu me verras bien loin.
C'est toi le seul motif pour lequel je m'en vais.
N'y pense plus, tout est bien.

C'est inutile de me montrer ta flamme, chérie,
Que je n'ai jamais vue.
C'est inutile de me montrer ta flamme, chérie,
C'est trop noir dans la rue.
J'ai toujours espéré que tu m'aurais instruit
D'un quelconque secret pour me rendre l'esprit.
Nous n'avons pas assez parlé tous deux, c'est dit.
N'y pense plus, tout est bien.

C'est inutile de sussurer mon nom, chérie,
Toi qui fus si peu tendre.
C'est inutile de sussurer mon nom, chérie,
Je ne peux plus t'entendre.
J'ai tant à découvrir, la route me réclame,
J'ai aimé une enfant bien plutôt qu'une femme,
A qui j'offris mon coeur, mais qui voulait mon âme.
N'y pense plus, tout est bien.

Ma route est une route solitaire, chérie,
Attaché, je me mens.
Un "Au revoir" pour toi serait bien trop gentil,
Je dirai simplement:
Je ne t'accuse pas d'avoir été méchante,
Tant pis si tu n'as pas satisfait mes attentes,
Tu as juste amoindri les rêves qui me hantent.
N'y pense plus, tout est bien.

Je me reconnais un peu dans ta traduction M.A.

Je crois que tout le monde peut se reconnaître un peu dans ces paroles. Qui a vécu une relation parfaite... On a toutes des frustrations et déceptions dans le cœur. Reste à savoir si on peut vivre avec.. ou pas.

Traduttore, tradittore....

Ce n'est effectivement pas du mot à mot....et heureusement ! Il eut été plus facile de proposer une traduction littérale du texte, qui aurait eu du mal à s'adapter à la mélodie. Tu as voulu transposer le rythme du texte , trouver des rimes adéquates tout en conservant le sens général. Bel effort et belle réussite !

Maintenant, traduis nous celle-là svp ! Nettement plus facile !


https://www.youtube.com/watch?v=LCSVR4ZfFoc

STEPHAN EICHER - LE PLUS LEGER AU MONDE

Tout à fait de circonstances.

Bel excercice MA...traduir n'est jamais facile. Et au delà de la poésie de Mister Bob Dylan (je suis une inconditionnelle) il est important de mettre en perspective également le comment on le dit, le parle, le chante.
Je connais au moins dix versions chantées par Dylan, toutes si différentes mais dans chacune on retrouve toujours sur quelques vers, ce rythme, phrasé qui rappelle le talent de Dylan dans son expression.
Merci MA...

Et Merci Laureen...coincidence.
Stéphan Eicher se produit à Montceau les Mines ce soir...dommage je ne peux pas y aller, j'ai su le concert que ce matin. Il se produisait à coté de Dijon jeudi...et c'est vraissemblablement lui que j'ai croisé jeudi en début d'après-midi dans le centre-ville de Dijon. Je l'ai vu en concert à Lyon l'année dernière...superbe, comme la robe de la pochette de son album.

..




de circonstance

Celui qui chante
A son histoire
A notre histoire
Au fond de lui
Celui qui chante
Rejoint le ciel
Et fait bouger l'ordre éternel
Il est heureux, malheureux comme nous
Il cherche ce qu'il voudrait comme nous
Mais quelque chose l'emporte au-dessus de tout
Celui qui chante
Celui qui chante
Retrouve la vie
Retrouve le cri
De l'enfant-Dieu
Celui qui chante
Se sent grandir
Et sent sa force
Au bout des doigts
Il se cherche des raisons comme nous
Il se pose des questions comme nous
Mais quelque chose l'emporte au-dessus de tout
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Devient si fort
Que rien au monde
Ne peut l'atteindre
Celui qui chante
A des regards
De vrai bonheur
Au fond des yeux
Il est heureux, malheureux comme nous
Il cherche ce qu'il voudrait comme nous
Mais quelque chose l'emporte au-dessus de tout
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante
Celui qui chante (a tant d'amour)
Celui qui chante (a tant d'amis)
Celui qui chante (dans sa tête à lui)
Celui qui chante (a tant d'amour)
Celui qui chante (a tant d'amis)
Celui qui chante (dans sa tête à lui)

sophieD a écrit: