interview d'une consœur DEMETRA FELINA KATZ

Le mythe du mauvais corps a la vie dure. Je ne pense pas qu'elle a une vie si épanouie que ce qu'elle dit a propos de sa vie amicale plutôt virtuelle que réelle. Les humains sont avant tout des animaux sociaux. Je le vérifie tous les jours.

Cette interview et de nombreuses autres décrivant un vécu très similaire (ça ne laisse un sentiment étrange ce copier-coller) me font penser que je ne suis pas trans (en fait je ne suis pas trans, je suis moi), car mon vécu y est à l'opposé complet. Probablement que je suis trop en connexion avec les autres femmes et pas du tout avec les personnes trans et leurs injonctions.

Ne jugez pas trop vite la vie des trans au travers de ces profils qui s'étalent sur les réseaux ou les sites. C'est un peu caricatural. Il y en a beaucoup d'autres, la majorité d'ailleurs, qui vivent une vie plus normale et ne passent pas leur temps à étaler leurs vie sur internet.

je ne veux pas faire ma médisante mais je pense que la réussite de la vie réelle est inversement proportionnelle au nombre d'amis sur Facebook.,. surtout quand ça dépasse le millier