Mon rêve violet... désolée pour Aladin

Je viens de relire mon intervention précédente et je vois que je dois la compléter. Quand je dit que les psys ne m'ont rien appris sur le pourquoi de mon travestisme, grâce à leur écoute et leurs "aiguillages" subtils, ils n'ont fait que me laisser me suggérer à moi même ce pourquoi.
Pour le comment, cad le mieux vivre avec, leur aide a été fondamentale. Je n'ose pas imaginer où j'en serais si je n'avais pas eu recours à leur aide.

Bonjour à toutes,

Merci Béatrice et Johanna pour vos conseils et pour votre temps.

J'avais fait une réponse aux propositions de Stéphanie, mais elle n'a pas été publiée. Elle rejoignait ce que dit Béatrice : déjà que juste en parler relève du défi, je ne risque pas d'aller voir un psy en femme.
Pourquoi pas habillée en danseuse brésilienne, avec une fanfare qui m'accompagne

Mais c'est certain que le psy, de plus s'il est pris en charge, pourrait être un bon point de départ pour vivre tout cela plus sereinement.
Merci beaucoup Johanna pour ce partage. Tu n'as pas idée, ou peut-être si et c'est pour cela que tu as fait l'effort de participer à ce post, de l'aide que c'est pour moi.
Je n'ai personne à qui en parler car je ne connais personne dans ma ville qui est comme moi. Et c'est aussi pour cela que j'hésitais à aller voir un psy, me demandant si n'importe quel psy pouvait convenir.

Bref, je vais essayer de voir ça avec mon médecin, sans rien lui révéler, mais en lui disant que j'ai un mal-être.
Une chose est sûr, et je vais défiler ce message en haut de mon écran : il faut positiver, la vie est belle en fille. Et c'est ce que je me dis à chaque fois que j'ai un moment à moi au féminin.
Ce ne sont définitivement pas des idées noires qui m'animent, mais bien des questions qui me font dire : est-ce que je dois aller plus loin dans ma féminité. Et pour ça, j'ai besoin d'y voir plus clair. Je verrai bien si un psy peut m'y aider, peut-être pas à trouver l'origine de cette particularité, comme pour Johanna, mais au moins vivre pleinement avec.

Bises les filles.