Premiere fois

J'ai l'idée d'un petit jeu qui pourrait alimenter notre forum : raconter notre première fois ; quand et comment a t'on eu l'idée de se féminiser , d'enfiler un vétement ou un sous vêtement féminin , quelle sensation ça nous a procuré , pourquoi y est on revenue ...?

Bien sûr les filles "nature" du forum sont aussi invitées :comment ont elles conçuent les prémices de leur féminité m^me avant l'adolescence ?,
Et comme il faut donner l'exemple...


Je devais avoir entre six et huit ans , j'étais seul dans notre appartement et, comme il n'était pas très grand ma mère rangeait ses affaires dans une armoire dans ma chambre .
Par désoeuvrement j'ai exploré cette armoire et je ne sais quel petit démon m'a fait découvrir une jolie paire d'escarpins que je revois encore. ils étaient ivoire, à talons et lanière . Le même petit démon m'a poussé à les essayer pour voir . A peine les avais-je enfilés que je ressentais une sensation immense de bien-être et de plaisir , cette partie de mon corps que je contemplais de ma taille d'enfant me paraissait plus belle sous ce jour inconnu et... j'ai découvert que mon petit "kiki" pouvait atteindre des proportions fort différentes de celles auxquelles j'étais habitué .
évidemment ce gout de l'exploration ne m'a plus quitté et la garde robe maternelle est devnus une mine d'expériences forts interessantes et pleines d'enseignements mais sans que je les exploite complétement .
plus tard quand mes parents s'absentaient j'en profitait pour tenter des transformations intégrales mais ayant grandi , les tenues de ma mère ne m'allaient plus .
l'impression initiale m'est cependant restée et avec elle l'idée que ma part féminime était fondamentale et qu'avec elle non seulement j'en retirerai une part de plaisir sensuel mais également une façon d'être , de penser , de m'enrichir au sens noble du terme .
la vie a fait que j'ai choisi de la refouler pour me marier et construire une famille, ne pas faire de peine à personne puis, à la cinquantaine , quant tout s'est effondré, cette féminité m'a aidé à remonter , à me reconstruire au vrai sens du mot ; elle est devenue un morceau d emoi auquel je ne renoncerai plus y compris si je rencontre une autre femme .
Et puis j'adore ce côté transgression , cette clandestinité , pour moi c'est encore un voyage : il y a en a qui partent à l'etarnger pour s'évader , je pars simplement "en femme "et j'y suis bien .

.... il suffit de lire mes '' once upon a time '' et tu sauras '' TOUT '' .....

Bises,

Karina.

Mon 1er souvenir remonte à très longtemps. J'étais encore à l'école maternelle, 4 ou 5 ans.
Je ne sais pas trop comment ça s'est passé mais j'ai déniché une paire de bas et je les ai passés. Il n'y avait là rien de sensuel ou sexuel... j'avais juste envie de les essayer. Je pense que je trouvais cela joli et doux. Ma mère s'en est rendue compte et m'a assis sur le lit et a retiré les bas en tirant dessus par les pointes. J'imagine qu'il a du y avoir un petit discours pour dire que les petits garçons ne portaient pas ce genre de choses. Mais le souvenir du moment où elle retire mes bas est très net. A la même époque j'adorais m'amuser avec les chaussures de ma mère, rangées dans un meuble situé sous la fenêtre de la cuisine. Tout cela c'était juste pour jouer mais ça a du avoir une influence notable sur la suite des événements :-)

Amitiés,

Sophie

Je me rappelle très bien de ma première fois!
vers 12_13 ans en allant au foot (et oui j'ai chaussé des crampons avant les talons ) dans la devanture de la maison de la presse il y avait une couverture d'un roman de la série SAS qui représentait une jolie paire de jambes féminines de dos, uniquement revêtue d'un collant sans démarcation (sans autres dessous donc)
je crois que ça a émoustillé ma libido débutante et en rentrant du match j'ai foncé dans l'armoire de ma mère et enfilé un de ses collants!!
Depuis, le plaisir de la sensation du nylon gainant mes jambes ne m'a plus quitté (même si j'ai laissé tomber les collants pour les bas plus féminins à mon goût) et puis après les collants j'ai progressivement compété la panoplie féminine, mais ça a pris beaucoup de temps...
A quoi ça tient, imaginez que ce fût la couverture de maisons et travaux je serai en bleu de travail maintenant

Merci de vos contributions , mais il faut continuer ,c'est vraiment le hasard et ce que j'appelle le petit démon malicieux qui nous a mis sur la piste de notre meilleure part dès l'enfance visiblement .

Hmmm... Mon plus lointain souvenir... Je ne comprenais pas pourquoi je n'avais pas de jupe. Mais à la maison le dialogue n'était pas le point fort, surtout inter-générationnel, alors je n'en ai jamais demandé (déjà fière, la Michèle-Anne...); A la place, j'utilisais un chandail dont je déformais le col en y passant mes hanches... Je devais avoir 7 ou 8 ans. Je n'ai commencé piquer les affaires de ma mère que quelques années plus tard, en remarquant qu'elles étaient disponible dans le séche-linge une nuit après lessive...Là j'avais 12 ans. Un jour m'a mère m'a donné de vieux bas pour essuyer mes disques ... je vous laisse deviner la suite: comme il était impossible de les faire tenir, il a fallu que j'aille farfouiller dans son armoire... Ce fut un véritable engrenage !

Dans tout ça, par contre, il n'y avait rien de sensuel. C'est difficile à expliquer: le sentiment de récupérer ce qu'on t'a volé, de remettre les choses à leur place, de rectifier une injustice, de découvrir que tu n'es pas ce que les autres voudraient que tu sois.