anniversaire Chantal92

Honte à moi j'arrive en retard à ton anniversaire !!!!

Alors point de bouquet, il faut un présent à la hauteur...

Chantal, Goya sera pour moi ton cadeau !




Bon anniversaire et fait nous encore profiter longtemps de tes subtils jeux de mots

Merci Annabelle pour le champagne !

C'est vrai qu'avec deux coupes c'est plus convivial ! Je trinque donc virtuellement avec toi !

Lou, c'est vrai que tu es en retard et que tu m'as fait poireauter !

Ton bouquet est une vrai salade composée et je vais le déguster avec délices !

Merci à toi pour avoir eu le tact de ne pas citer Corneille jusqu'au bout ( "ô vieillesse ennemie !").

Merci Jennyfer, pour cette Maja la belle (pas l'abeille !)

Mais si tu n'avais point craint les foudres de Malefik, tu eusses pu présenter cette version là :



Moi j'ose, en vertu de la licence  (c'est le cas de le dire) accordée aux personnes âgées !

chantal92 a écrit:

Moi j'ose, en vertu de la licence  (c'est le cas de le dire) accordée aux personnes âgées !

prend garde qu'au nom de cette licence tu ne te fasses point licencier

Coucou,
J'arrive à traine, désolée. Je te souhaite un bel anniversaire Chantal, avec quelques jours de retard.
Quelle fille étourdie, je suis!

No problem, Françoise !

Merci beaucoup !

Les anniversaires, c'est bien, mais les cadeaux ? Je m'aperçois que j'ai oublié celui de Chantal et je vais réparer cela tout de suite; mon cadeau c'est l'anecdote suivante:

Als ich in den 1920er Jahren in Berlin war... pardon, je m'emballe à ce souvenir de tierce jeunesse... Donc, quand j'étais à Berlin dans les années 20, je suis allée, comme bien des gens, au "Resi", le Residenz-Casino, au 10 Blumenstrasse, tout près de l'AlexanderPlatz, un établissement gigantesque comme on n'en fait plus avec des particularités uniques, comme un réseau de téléphones privés installés sur les tables pour permettre aux clients de communiquer anonymement entre eux, l'ancêtre du Minitel et d'Internet, quoi !

Aber am Ende wurde ich beschwipst, (hips), pardon, comme j'ai fini un peu grise, comme la Perichole d'Offenbach, il a fallu m'exfiltrer et ils ont dû faire appel au videur (Der Türsteher, ça va vous servir après); ah, j'étais dans un drôle d'état! Il faut dire que je n'étais déjà plus toute jeune et que c'était l'heure de ma gélule.

En tout cas, pendant que je lui racontais des bêtises à n'en plus finir le videur est resté très professionnel, très calme, très zen, bien qu'intraitable. Alors à la fin je l'ai remercié chaleureusement, en disant "Au revoir" au videur zen dur, "c'est l'heure",

Michele-Anne a écrit:avec des particularités uniques, comme un réseau de téléphones privés installés sur les tables pour permettre aux clients de communiquer anonymement entre eux, l'ancêtre du Minitel et d'Internet, quoi !

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Un concept que j'ai connue sur Besançon.. Il y avait un cabaret dansant au bord du Doubs dans les année 80.. On s'y rendait, et les petits téléphones sur les tables servaient à d'accortes MILF à inviter de jeunes militaires en goguette à trinquer à leurs côtés danser et .................. .

Les Tonnelles...

je te souhaite un agréable anniversaire bise Solange

Merci beaucoup Solange !

je suppose que peu de gens ont compris le calembour terminant le texte de Michèle-Anne.....

Si vous lisez à haute voix les 6 derniers mots, cela peut s'entendre comme "Auf Wiedersehen, Türsteher " (au revoir, monsieur le videur)

Bon, à quand les calembours en chti, en breton, en alsacien et autres langues ou dialectes ?

Galwenne, les téléphones de table existent toujours dans certaines boîtes allemandes.